Transfuge, transfusion ou vampirisme ?
12
juil.
2007
Pauvre Parti Socialiste ! Coincé entre désertions et sabordage interne, le Parti Socialiste a du mal à montrer une stratégie claire.
D'un côté, il vient de perdre Besson, Kouchner et Bockel au profit du gouvernement Sarkozy. Puis, c'est Strauss-Kahn qui part rejoindre la Banque Mondiale (plus libéral que social le Dominique !). Maintenant, c'est ce bon vieux mittérandien de jack Lang qui rejoins le camp libéral autoritaire.
D'un autre côté, en interne, la toujours très médiatique candidate battue aux présidentielles, présidente de région et candidate à la présidence du PS, Ségolène Royal, annonçait récemment qu'elle n'avait jamais cru à ses promesses durant les présidentielles sur le smic à 1500 € et la défense des 35 heures ! Un véritable coup de poignard contre son propre parti !
C'est vrai qu'à force de glisser vers une vision libérale et fataliste du monde depuis 25 ans, les repères idéologiques socialistes se sont perdus en cours de route.
C'est bien pour cela que les travailleurs ont besoin d'une force politique ancrée à leur côté qui sache décortiquer les réalités actuelles et proposer une véritable politique au bénéfice de tous, une politique "socialiste". Si des dirigeants de "gauche" se laissent attirer par des lanternes libérales, les communistes seront là, eux, pour combattre les décisions inégalitaires et antidémocratiques de la Droite au pouvoir : franchise sociale, contrat unique, nouveau traité constitutionnel, autonomie des universités, réduction du droit de grève, ...
Dans les mois à venir, beaucoup verront l'ampleur des mesures antisociales en passe d'être prises ainsi que ceux qui s'y opposent vraiment.

D'un autre côté, en interne, la toujours très médiatique candidate battue aux présidentielles, présidente de région et candidate à la présidence du PS, Ségolène Royal, annonçait récemment qu'elle n'avait jamais cru à ses promesses durant les présidentielles sur le smic à 1500 € et la défense des 35 heures ! Un véritable coup de poignard contre son propre parti !
C'est vrai qu'à force de glisser vers une vision libérale et fataliste du monde depuis 25 ans, les repères idéologiques socialistes se sont perdus en cours de route.
C'est bien pour cela que les travailleurs ont besoin d'une force politique ancrée à leur côté qui sache décortiquer les réalités actuelles et proposer une véritable politique au bénéfice de tous, une politique "socialiste". Si des dirigeants de "gauche" se laissent attirer par des lanternes libérales, les communistes seront là, eux, pour combattre les décisions inégalitaires et antidémocratiques de la Droite au pouvoir : franchise sociale, contrat unique, nouveau traité constitutionnel, autonomie des universités, réduction du droit de grève, ...
Dans les mois à venir, beaucoup verront l'ampleur des mesures antisociales en passe d'être prises ainsi que ceux qui s'y opposent vraiment.
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