Sarkozy accueille khadafi à bras ouverts et emploie la violence contre les étudiants !

Montpellier 3 évacuée avec violence

Montpellier 3 évacuée par la police

La fac de lettres de Montpellier a été évacuée ce matin par la police qui s’en est pris aux étudiants protestant contre cette intervention musclée et d’une rare violence

Ce matin la police a investi la fac Paul Valéry pour expulser les étudiants mobilisés depuis 4 semaines.les forces de l’ordre ont fait appel aux grenades lacrymogènes et aux matraques contre les étudiants,en blessant plusieurs et en interpellant trois.

Du coté des forces de l’ordre un policier a été blessé. Les étudiants de Paul Valéry condamnent cet acte de répression brutale contre un mouvement de contestation et exigent la démission du président miossec.

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Communique du Snesup de Montpellier 3 suite aux evenements qui ont eu lieu ce matin a l’Universite.

"A la suite de l’interpellation du deuxieme etudiant, et au portail du Val de Montferrand, vers 11h, les policiers ont utilise contre les etudiants, outre des bombes (spray) lacrymogenes, des "grenades assourdissantes", materiel anti-emeutes, et a tirs tendus : 3 étudiant-tes ont ete blesses a la cuisse et une a la tete ; 4 sont aux urgences pour des troubles auditifs dont trois serieux.

Voila les "violences" sur le campus... Et sans autre commentaire !"

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                                                                                    Montpellier, le 10 Décembre 2007

Jean Louis Bousquet

Président du groupe

communiste et citoyen

CR Languedoc-Roussillon

Communiqué de presse

Après être intervenues la semaine dernière au lycée Joffre de Montpellier, les forces de police sévissent ce matin à l’Université Paul Valéry.

Devant un mouvement d’ampleur qui dure dans les facultés et les lycées, le gouvernement choisi la manière forte après avoir tenté le pourrissement.

Au nom du groupe communiste, j’élève une protestation solennelle contre ces méthodes et demande le retrait des forces de police des universités et des lycées.

Arrêtons de criminaliser l’action syndicale.

                                                                                    Jean Louis Bousquet

                                                                                     Président du groupe